DOGE Noémie

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1983, Moudon | travaille à La Chaux-de-Fonds et à Lausanne

DOGE Noémie, vue d'exposition à la villa Bernasconi, 2018, graphite sur papier, il leur avaient semblé à tous les trois que c'était une bonne idée d'acheter ce cheval.
DOGE Noémie, vue d'exposition à la villa Bernasconi (il leur avaient semblé à tous les trois que c'était une bonne idée d'acheter ce cheval.), 2018, graphite sur papier
DOGE Noémie, il leur avaient semblé à tous les trois que c'était une bonne idée d'acheter ce cheval #4, 2018, graphite sur papier, 55 x 70 cm
DOGE Noémie, il leur avaient semblé à tous les trois que c'était une bonne idée d'acheter ce cheval #4, 2018, graphite sur papier, 55 x 70 cm
DOGE Noémie, le dernier monde, 2018, graphite sur papier, 128 x 108 cm
DOGE Noémie, le dernier monde, 2018, graphite sur papier, 128 x 108 cm

Après avoir travaillé pendant plusieurs années dans le champ des arts appliqués, Noémie Doge commence en 2014 une œuvre plastique autour de la question de la perception de l’environnement et de la représentation mentale. Ses dessins aux crayons gris sont composés à partir de tableaux anciens, de photographies privées, mais aussi d’instruments optiques qui modifient le regard et qu’elle aborde comme des visages.

Noémie Doge obtient son diplôme en 2007 à la Gerrit Rietveld Academie à Amsterdam. Elle termine en 2014 un master of fine arts au Royal College of Art de Londres. Ses oeuvres font partie des collections du Mudac de Lausanne, du Musée d’art et d’histoire de Genève, du Royal College of Art à Londres et du Cabinet Cantonal des estampes du musée Jenish à Vevey. Son travail est aussi régulièrement soutenu par des bourses et récompensé par des prix comme la bourse Lissignol-Chevalier et Galland à Genève, So Fresh Award à Vienne, Ikea Stiftung ou la bourse Alice Bailly à Lausanne.

Texte proposé par l’artiste